CADAQUES…

samedi, 13 octobre, 2018

« VOLEM VIURE AL PAIS ».. Ce slogan que l’on retrouvais au Larzac et dans tous les coins  un peu Hippies, « gauchistes », du milieu des années 70 , c’est un peu ça !

Ce matin sur ma page FB perso une jolie foto de ce que fut le « Club Med » de Cadaqués, au Cap de Creus !

Club Med - Cap de Creus

          Club Med – Cap de Creus

Et puis ce commentaire de mon ami Marc qui as aussi connu les grandes heures du village a l’époque de Dali.

« Extraordinaire cette époque ou le club med choisissait les plus beaux spot du monde sans se poser de question et sans incidences réelles sur les paysages ! Qu’est ce qui a changé ? Les êtres humains et leur bêtise certainement ?….

… Et j’en profite pour dire qu’ivo je le comprends ! Il coule des jours heureux dans ce cadaqués bourré de cet age d’or des années 70 ou las bas tout était beau et plein de charme ! Pas de sida , pas d’islam , pas de crise , pas de violence , juste la chance de ceux qui étaient la ….. mais déja les trains entaient bourrés de ces miséreux qui remontaient d’algérie et du maroc pour travailler , les drogues faisaient des ravages , les voitures tuaient 10 fois plus , le sida et l’hépatite C préparaient leur venue etc … mais on ne le voyait pas ! Alors quand on a 20 ans tout est beau ! Et ivo a choisi d’avoir toujours 20 ans respect. »

Volem Viure al Pais

Volem Viure al Pais –  Photo : Isabelle GABRIELI

Je n’ai plus 20 ans, mais OUI… aprés avoir fais bien des voyages, j’ai posé mes bagages içi. C’est ma base. Je produit des vins que j’aime, un style différent de ces « trucs » qui puent le bois et qui sont mielleux en bouche.. bref des vins à boire avec plaisir. Je pourrais bien vivre aussi dans une des deux capitales de Catalogne : Barcelona ou Perpinya mais Cadaqués me permet de respirer de supporter ce monde. Cet endroit est particulier, il y as quelquechose d’inexplicable et tant mieux. Je l’aime en en connaissant ses travers et ses choses, ses moments, ces rencontres que je trouves merveilleuses et que j’essaie de partager avec mes amis.

Merci Marc pour ce texte.

Ivo

Pirata